Marcher, un pas après l’autre, sans but, l’esprit libéré et apaisé… Respirer profondément, écouter le vent, les passants, les oiseaux et les voitures… Faire corps avec la rue, les façades et les gens… Penser à hier, à demain et à maintenant… Ouvrir les yeux, regarder avec candeur, admirer naïvement et sans jugement… Anti-carte postale à la gloire du quotidien où tout est à voir, où tout est sujet. Plaisir d’errance – banalité adorée – scène imaginée.